La mort des oiseaux - (François Coppée 1842-1908)
Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois,
A la mort d’un oiseau, quelque part, dans les bois,
Pendant les tristes jours de l’hiver monotone
Les pauvres nids déserts, les nids qu’on abandonne,
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Se balancent au vent sur le ciel gris de fer.
Oh ! comme les oiseaux doivent mourir l’hiver !
Pourtant lorsque viendra le temps des violettes,
Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes.
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Dans le gazon d’avril où nous irons courir.
Est-ce que " les oiseaux se cachent pour mourir ? "
(Promenades et Intérieurs)
Le soir, au coin du feu, j'ai pensé bien des fois, A la mort d'un oiseau, quelque part, dans les bois, Pendant les tristes jours de l'hiver monotone Les pauvres nids déserts, les nids qu'on ...